Vers le doux pays d’ivresse…
L’aventure est à deux pas et notre lente exploration des vignobles reste imprévisible. Au fil des périples, c’est le même étonnement, le même sentiment de découverte, la même richesse humaine. Et c’est chaque fois différent.
À distance, et sans y avoir jamais posé le pied (sauf Alain, le corsaire), le Beaujolais nous semblait être une sorte d’archétype, de terroir trop connu, mille foisraconté, tour à tour encensé puis décrié pour le succès planétaire de ses vins primeurs et qui, peut-être, nous laisserait une impression de déjà vu. Pour une fois, nous avions peur de nous répéter. Nous avions peur d’être blasé, nous, In Vino, c’est tout dire…